miércoles, 27 de febrero de 2013

INTERVIEW FOOTBALL


Madrid corrige le Barça
En ballottage défavorable après le nul du match aller (1-1), le Real Madrid a superbement retourné la situation mardi soir au Camp Nou (3-1) pour s'offrir une place en finale de la Coupe du Roi. Cristiano Ronaldo et Varane sont les buteurs du Real.

Cristiano Ronaldo est comme chez lui au Camp Nou. (Reuters)
Cristiano Ronaldo est comme chez lui au Camp Nou. (Reuters)

BARCELONA-REAL MADRID

Varane taille patron
Impressionnant au match aller, Raphaël Varane est resté au même niveau d'excellence mardi soir face au Barça (3-1). Propre défensivement, il a encore marqué de la tête. Et se pose en candidat naturel pour l'équipe de France.
 

 

miércoles, 13 de febrero de 2013

ALLEZ PARIS SAINT GERMAIN!!!

Le PSG s'est imposé à Valence (2-1) en huitièmes de finale aller de la Ligue des champions, mardi soir au stade Mestalla, avant le match retour le 6 mars à Paris. A 120 secondes près, le KO était total. Paris menait 2-0 sur le terrain du 5e de la Liga et avait montré qu'il avait sans doute déjà l'étoffe pour aller voir un peu plus haut en Ligue des champions. Mais à la 90e minute, Rami a surgi sur un coup franc de Costa pour tromper Sirigu et offrir un dernier espoir au club "Ché".
Le PSG reste bien sûr favori pour la qualification, mais le match retour le 6 mars aurait pu être plus tranquille, d'autant qu'il faudra faire sans Verratti (suspendu) et surtout Ibrahimovic, qui a pris dans les derniers instants un carton rouge pour le moins évitable et dont les performances en Ligue des champions restent suspectes. Ces deux dernières minutes ratées ne doivent pourtant pas occulter tout ce que Paris a réussi de bien à Mestalla, sous les yeux de sa recrue David Beckham. Si l'équipe parisienne poursuit dans cette veine, l'Anglais aura d'ailleurs du mal à s'y faire une vraie place.
Quelques doutes accompagnaient pourtant le PSG au moment de se lancer dans son premier match de phase à élimination directe de C1 depuis 1995.
Cette fois, en effet, c'était vraiment la grande Europe, pas celle de Zagreb ou Kiev, et l'adversaire était infiniment plus redoutable que ceux qu'Ibra et les siens retrouvent chaque semaine en Ligue 1. Valence marchait fort, aussi, depuis l'arrivée de son nouvel entraîneur Ernesto Valverde, et avait même tenu tête huit jours plus tôt au grand Barça (1-1).
LE PSG À LA HAUTEUR DE "LA GRANDE EUROPE"
Mais tous ces doutes, Paris les a levés avec une première période de très haut niveau, sa meilleure probablement depuis l'arrivée de Carlo Ancelotti aux commandes. Le début de match était ainsi très engagé, avec un minimum de temps morts. Les Parisiens ont alors fait mieux que résister et c'est Valence qui a eu en premier besoin de reprendre son souffle. Et qui l'a payé immédiatement. Une minute après un tir de Lucas sur le poteau, Lavezzi ouvrait en effet le score après un une-deux avec Pastore et un dribble sur Ricardo Costa, bien naïf sur le coup (10e).
Toute la première période était du même excellent tonneau, avec un jeu rapide et intense, les quelques ballons perdus au milieu par les Parisiens étant exploités par le clairvoyant Banega. Mais peu avant la pause, c'est encore Paris qui trouvait l'ouverture et assénait aux coéquipiers de Rami un deuxième uppercut. Sur son côté droit, Lucas dévorait Guardado et offrait le deuxième but à Pastore (43e).
La deuxième période n'a ensuite pas été simple pour le club de la capitale, qui a abandonné la possession de balle et a opéré en contre, sans grande réussite notamment du côté d'un Ibrahimovic un ton en dessous, mais avec encore deux vraies opportunités pour Lavezzi (60e, 63e). Mais sa solidarité, à l'image d'un Pastore travailleur et d'un Lavezzi infernal dans le harcèlement, lui a longtemps permis de contenir des Valenciens qui n'ont finalement eu que peu d'occasions franches. Jusqu'à ce que Rami surgisse.

À L' ÈPICERIE


UN PETIT CAFÉ


ON VA AU CAFÉ


AU RESTAURANT